Selon les médias italiens, l’Inter Milan devra se passer de Denzel Dumfries plus longtemps que prévu. Les matchs décisifs de la Ligue des champions et de la Coppa Italia se joueront probablement sans le Néerlandais.
Quand le mois d’avril arrive, on parle toujours des fameuses « semaines de vérité » dans les grandes ligues et les coupes européennes. Après tout, toutes les grandes compétitions de ces latitudes sont dans leur phase finale, tandis que l’Inter Milan doit se passer de Denzel Dumfries plus longtemps que prévu, à un moment peu opportun.
Comme l’a rapporté la Gazzetta dello Sport vendredi, la durée d’indisponibilité de l’international néerlandais a été une nouvelle fois revue à la hausse. Selon le quotidien italien, le moment réaliste pour un retour serait le match de Serie A fin avril contre la Roma. Le titulaire milanais manquerait ainsi les deux duels de quart de finale de la Ligue des champions contre le FC Bayern, également touché par les blessures.
Peu après sa blessure, mi-mars, l’espoir d’un retour immédiat de Dumfries s’était déjà envolé. Il était clair que, contrairement aux premières indications, il manquerait non seulement la trêve internationale, mais aussi au moins le match aller de la demi-finale de la Coppa Italia contre Milan. Les deux rivaux de la ville se sont quittés sur un score de 1 à 1 en l’absence du joueur de 28 ans, qui pourrait donc être contraint de jouer les spectateurs lors du match retour le 23 avril.
Pas seulement des maux de ventre sportifs
Ce n’est pas seulement sur le plan sportif que la situation est loin d’être satisfaisante pour les Nerazzurri. Le « cas Dumfries », comme le qualifie la Gazzetta, est également source d’irritation. Après sa blessure musculaire à la cuisse, Dumfries lui-même a insisté pour rester sur le terrain lors de l’importante victoire 2-0 à Bergame, ce qui a peut-être aggravé sa blessure. « Il avait un peu mal, il était calme. Il voulait rester sur le terrain, mais il ne s’est pas rendu compte que je l’avais déjà remplacé », a commenté l’entraîneur Simone Inzaghi après le match.
De plus, le diagnostic n’est pas clair. Ainsi, le premier examen du joueur sur rail droit dans le cercle de l’onze aurait eu lieu directement le lendemain de la blessure et donc plus tôt que d’habitude en cas de blessures musculaires. D’où l’adaptation en temps réel de la durée d’indisponibilité attendue, qui est désormais encore plus longue.