Grâce à l’arceau de protection du cockpit Halo, Nyck de Vries peut déjà rire après son accident lors de la première course de Formule E à Séoul : Ce que la collision de masse
Lors de la première course du championnat du monde de Formule E 2022 à Séoul, le Halo a une fois de plus été le sauveur de la situation. En effet, grâce à l’arceau de protection du cockpit, le pilote Mercedes Nyck de Vries n’a pas été blessé lors de la collision massive du premier tour, bien qu’il ait glissé sous le véhicule de Sebastien Buemi (Nissan-e-dams), qui s’est ensuite retrouvé sur son bolide.
Heureusement que nous avons le halo, même si je pense que ça avait l’air pire que ça ne l’était », a plaisanté le Néerlandais de 1,67 mètre. « Heureusement, nous l’avons et cela m’a sauvé. C’est une bonne chose que nous puissions en rire et ne pas en pleurer ».
Toutefois, le halo a également fait en sorte que de Vries soit d’abord coincé dans son cockpit. Ce n’est qu’après de longues minutes de récupération de la voiture de Buemi que le champion du monde de Formule E de l’année 2021 a pu sortir.
Dans le premier tour de la course de samedi, sur une chaussée détrempée, pas moins de huit des 22 pilotes ont glissé dans les limites de la piste au virage 21. Le bolide de Buemi, qui était monté sur la Mercedes de de Vries, a donné une image spectaculaire, mais du point de vue du cockpit, l’accident n’a pas semblé dramatique, selon de Vreis.
Grand de voir les sept pilotes sortir indemnes de cet incident au début de la course.
Le tour 15 est actuellement sous drapeau rouge alors que les voitures sont sorties de la piste.
2022 Hana Bank SeoulEPrix pic.twitter.com/ce7ODepDiS
– ABB FIA Formula E World Championship (@FIAFormulaE) Août 13, 2022
« En fait, c’était plutôt lent. Quand on regarde la vidéo, on a presque l’impression que c’était au ralenti », dit-il. Interrogé sur la cause de ce carambolage, de Vries répond : « Des conditions difficiles, une très mauvaise visibilité. Et vous savez ce que c’est : on voit si peu qu’on s’oriente sur les voitures autour de soi pour le point de freinage ».
De Vries ne veut toutefois pas rejeter la faute sur ses rivaux. Selon le pilote Mercedes, le choix du bon point de freinage relève de sa responsabilité personnelle. « Je pense que tout le monde a été surpris par cela, tout simplement. «
« Si vous vous déportez légèrement vers l’extérieur [au virage 20], il n’y a tout simplement pas d’adhérence, et vous heurtez cette surface de béton avec une bouche d’égout. Et c’est suffisant. Je pense que tout le monde a freiné un peu trop tard et c’était malheureusement la fin de notre course », résume le Néerlandais.