mercredi, mars 19, 2025
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Le message radio de Leclerc devient un hit sur Internet : « Ça doit être l’eau ».

Charles Leclerc et Ferrari n’ont pas réussi à se hisser au niveau des leaders lors de la première course à Melbourne, mais un message radio de la star de la Scuderia a tout de même mis de l’ambiance

Pilote Ferrari depuis de nombreuses années, Charles Leclerc a l’habitude de s’exprimer à la radio des stands. Au cours de sa carrière, le Monégasque a reçu de nombreuses fois le légendaire « We are checking ! » en réponse aux questions posées par les pilotes rouges.

Au 25e tour de la course sous la pluie, Leclerc se présente à la radio des stands et demande, perplexe : « On a une fuite ? » Son ingénieur le relance : « Une fuite de quoi ? » Leclerc : « J’ai le siège plein d’eau, enfin, plein d’eau ». Ce à quoi l’ingénieur de Leclerc répond : « Ça doit être l’eau ». Alors que des rires éclatent dans les boxes des commentateurs et devant les écrans de télévision du monde entier, le Monégasque réagit tout de même avec vivacité : « Mettons cela dans les paroles de sagesse ».

Pour les fans de Formule 1, qui s’amusent beaucoup de cette communication, la scène est bien sûr du pain bénit, elle devient même virale sur les médias sociaux pendant la course. A défaut de trophée, Ferrari ramène donc au moins un nouveau mème d’Australie…

Leclerc croit au système d’hydratation : « Il n’y avait plus rien »

Seul : Leclerc ne peut pas répondre avec certitude à la question de savoir si la quantité d’eau était simplement une conséquence des pluies ou si elle avait une autre raison, même après être sorti de la voiture : « Oh, je n’ai aucune idée de ce que c’était, mais j’étais complètement trempé. Il y avait tellement d’eau », dit-il – et il donne sa théorie : “Je pense que c’était le système d’hydratation, parce que quand j’ai voulu boire au tour suivant, il n’y avait plus rien. ”

Mais c’est le moindre des problèmes de Leclerc dans un dimanche décevant pour la Scuderia : il ne termine qu’à la huitième place, deux positions devant son coéquipier Lewis Hamilton. Les stars de Ferrari sont même brièvement poussées vers l’avant par les caprices de la météo à Down Under, mais l’équipe ne peut finalement pas en tirer profit.

« C’était définitivement une occasion manquée, surtout dans des conditions aussi changeantes, où il faut marquer des points malgré le manque de rythme. Nous n’avons pas réussi à le faire aujourd’hui », s’énerve Leclerc, qui dresse un bilan désastreux de son équipe : »Nous n’étions pas assez rapides en début de course, alors qu’il n’y avait pas encore d’événements. Et au moment où il fallait prendre la bonne décision, nous ne l’avons pas fait. «

Le pilote de 27 ans s’en prend toutefois à lui-même : « La première erreur que l’on peut reprocher, c’est la mienne, ma glissade au virage 11. Cela m’a fait perdre quatre ou cinq positions. Cela nous a mis dans une position défavorable », dit Leclerc, qui pense que “si je n’avais pas fait cette erreur, nous aurions peut-être terminé troisième ou quatrième, ce qui aurait sans doute été le maximum. ”

« Trop lent par rapport à McLaren et Max »

Les pilotes Ferrari ont donc terminé en quatrième ligne, derrière des positions de départ déjà mitigées. Leclerc se montre en tout cas servi après le Grand Prix, d’autant plus qu’il estime : « Je ne pense pas que nous ayons appris beaucoup de nouvelles choses aujourd’hui. Les conditions étaient si particulières qu’il est difficile d’en tirer des enseignements concrets. «

La faible forme de Ferrari devrait donc continuer à laisser l’équipe perplexe avant la Chine : « Nous étions nettement trop lents par rapport aux McLaren et à Max. Nous allons analyser cela, mais c’était en tout cas une journée difficile pour nous », explique la star de la Scuderia. Certes, on était « au même niveau que les Mercedes devant nous » sur les intermédiaires, « mais c’est tout », poursuit Leclerc : « Les McLaren et Red Bull étaient nettement plus rapides ».

Le troisième du championnat du monde de l’année dernière est surtout préoccupé par le rythme élevé des courses de Papaye, car il a déjà remarqué que McLaren pouvait réaliser des « temps impressionnants ». Leclerc : « Mon ingénieur ne m’a pas donné une seule fois les temps au tour des McLaren pendant la course, je pense qu’elles étaient tout simplement trop loin ».

Mais pour cela, son ingénieur lui a fait part d’une autre sagesse dimanche…

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