Novak Djokovic manquera le premier tournoi du Grand Chelem de l’année. Sa participation à l’Open de France pourrait également poser problème. La star du tennis perd ainsi beaucoup d’argent.
Novak Djokovic s’est rendu en Australie en tant que numéro un mondial. Comme on le sait, il n’a pas été autorisé à rester. Le drame de « Down Under » a terni l’image de la star du tennis. Lors d’entretiens avec t-online, des experts ont déjà déclaré que Djokovic devait s’attendre à ce que les sponsors se détournent de lui.
De plus, il doit désormais faire face à des pertes importantes – et le prize money fermement calculé n’atterrira pas non plus sur son compte. Au total, plus de trois millions d’euros échappent au Serbe. Cette somme se compose de plusieurs facteurs tels que le prix en espèces, les frais de pénalité, les frais de vol et les frais de restauration.
Le vainqueur reçoit un prix de 2,5 millions d’euros
Novak Djokovic aurait reçu 2,5 millions d’euros rien que pour sa victoire dans le tournoi du Grand Chelem. Même en cas de défaite en finale, il aurait déjà gagné près de 1,5 million d’euros.
En outre, selon le « Bild », le tennisman devrait payer une amende d’environ 315.000 euros rien que pour son expulsion. A cela s’ajouteraient les frais de justice (200.000), les frais de vol (40.000) et les frais de nourriture (4.000) pour la période passée en Australie. En outre, selon le « Bild », l’homme aux 20 titres du Grand Chelem aurait loué une maison dans laquelle il aurait séjourné pendant la durée du tournoi. Le journal a calculé cette somme à environ 8.000 euros.
En l’état actuel des choses, le Serbe ne devrait pas non plus participer aux Internationaux de France. En effet, seuls les athlètes vaccinés peuvent prendre le départ à Roland-Garros en mai. Djokovic manquerait alors jusqu’à 1,6 million d’euros. En 2021, il pouvait encore remporter ce prix.
Mais la perte la plus amère pour Djokovic serait de perdre sa première place au classement mondial. En cas de victoire d’Alexander Zverev ou de Daniil Medvedev, c’est précisément ce cas de figure qui se produirait en février.