Après un huitième de finale retour dramatique contre le Betis, Francfort est en quart de finale de l’Europa League. Les Hessois ont dû aller en prolongation, y ont eu de la chance – et ont marqué le 1:1 décisif sur la dernière action du match.
L’entraîneur de l’Eintracht Oliver Glasner n’a procédé à aucun changement dans son onze de départ après la défaite 2-1 contre le VfL Bochum. Le Betis s’était remis de sa défaite 2-1 au match aller en battant Bilbao 1-0 ce week-end. Lors du match retour à Francfort, l’entraîneur Manuel Pellegrini a notamment fait débuter la légende de la Liga et le capitaine Joaquin, qui devrait être à l’origine des buts avec Fekir, Ruibal et Willian José.
Le tir de Knauff s’écrase sur la barre transversale
La SGE frappe à nouveau l’aluminium
Au retour des vestiaires, le Betis reprenait le dessus et Fekir ouvrait le score (56e). Mais comme en première mi-temps, les Franciliens ont repris le dessus et ont eu de bonnes occasions d’ouvrir le score : Kostic n’a d’abord pas touché le ballon de manière idéale alors que le but était vide, et peu après, un coup franc du Serbe, que personne n’a pu atteindre, a heurté le poteau gauche (les deux 63e). Les visiteurs se sont montrés un peu plus présents devant, et Juanmi, entré en jeu, a forcé Trapp à un bon sauvetage de la tête (65e).
Iglesias force la prolongation
Les Franciliens ont globalement bien maîtrisé le match et n’ont rien concédé. Le Betis a longtemps manqué d’idées, mais a fini par se ressaisir pour forcer la prolongation. Et c’est ce qui s’est passé ! Le remplaçant Borja Iglesias a d’abord tiré au-dessus (87e), mais à la 90e minute, l’attaquant a fait mieux : sur un centre de Fekir, Borja Iglesias a pointé la balle dans le but et a ainsi égalisé en somme.
Avec la dernière action : l’Eintracht se qualifie pour les quarts de finale
Les Andalous ont eu la seule bonne occasion de la prolongation : le tir de Lainez a été dévié par Borja Iglesias, qui a placé sa tête sur la barre (109e). Les Francfortois ont longtemps manqué d’idées dans les prolongations, mais vers la fin, les Hessois ont pris le second souffle.