Albert Costa et Jack Aitken sont désemparés après un samedi difficile au Sachsenring : c’est surtout après l’arrêt que les choses se sont compliquées pour la Lambo d’Emil Frey 63
« Ce n’était pas notre jour » – Jack Aitken résume parfaitement en cinq mots la course de samedi de la Emil-Frey-Lamborghini Mais les bonnes nouvelles s’arrêtent là. Costa a rapidement été contraint de s’éloigner et a retardé sept pilotes au cours de son relais. « Nous ne sommes tout simplement nulle part. Nous traînons dix kilos de lest supplémentaire. Franchement, la voiture est impossible à conduire »,
63. « Jack a aussi des problèmes et roule une seconde plus lentement que tous les autres. Ce n’est pas normal », s’étonne l’Espagnol. Mais que s’est-il passé exactement avec la Lamborghini Huracan GT3 ? On ne sait pas encore ce qui se passe.
Les choses ont empiré dans le relais de Jack Aitken
« Nous ne sommes pas sûrs. Il y a eu quelques petites choses que nous avons trouvées. Nous avons eu un petit problème avec la voiture, mais nous devons encore le confirmer et regarder tout cela ce soir », explique Aitken. Ce qui est sûr, c’est que l’on n’a pas pu montrer « le vrai rythme de la voiture », poursuit le pilote d’essai de Formule 1.
4, Schiller/Gounon), la différence n’est « que » de 1,403 seconde.
Duel contre un collègue d’Emil Frey : « Je l’ai laissé partir «
63 s’est « certainement un peu aggravé » au fur et à mesure de la course. Pour couronner le tout, il y a également eu une scène très poilue avec son coéquipier Franck Perera à la sortie du virage 11, lorsque Aitken a presque poussé le Français dans le pré à grande vitesse.
Pas le résultat que nous espérions…
Résultats de la course 1
▪️ P9 14Demain est un nouveau jour, signifie une nouvelle chance pour nous. L’équipe est motivée adacgtmasters emilfreyracing lamborghinisquadracorse pic. twitter.com/fiec3njb9w
– Emil Frey Racing (@emilfreyracing) September 24, 2022
« Nous en avons déjà un peu parlé. Bien sûr, c’était un peu serré. A ce moment-là, j’essayais encore de défendre ma position. Mais j’étais beaucoup plus lent », explique Aitken. « Quelques tours plus tard, je l’ai laissé partir, parce qu’en fin de compte, il m’aurait dépassé de toute façon. Ce n’était donc plus intelligent de l’arrêter ».
Finalement, Costa/Aitken se sont classés onzième, ce qui ne représente qu’un gain de cinq points et donc un sérieux revers dans la lutte pour le championnat. Les trois concurrents pour le titre ont tous terminé dans le top 5 et, à trois courses de la fin, l’écart avec Raffaele Marciello s’est creusé à 43 points – 28 au maximum peuvent être obtenus en une journée de course.
Le dimanche de la course sur le Sachsenring, Albert Costa et Jack Aitken auront une nouvelle chance de maintenir leurs espoirs de titre dans l’ADAC GT Masters. C’est aussi l’objectif d’Aitken, qui déclare : « Demain, ça devrait aller mieux ».