dimanche, décembre 22, 2024
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Gasly salue les nouvelles règles de sprint : C’est comme ça que ça devrait être en Formule 1 !

Pierre Gasly explique pourquoi le nouveau format de sprint est, selon lui, une bonne chose – Esteban Ocon, son coéquipier chez Alpine, salue également les nouveautés

Pour la saison 2024 de Formule 1, le format du sprint dans la catégorie reine va être revu – une fois de plus. Alors que différentes variantes ont déjà été testées ces dernières années, un nouveau changement intervient déjà pour la nouvelle saison.

Gasly : les ingénieurs devraient avoir la liberté nécessaire

Pierre Gasly trouve « formidable » que cette restriction soit supprimée en 2024. En effet, cette année, il est prévu de libérer les voitures du parc fermé après le sprint du samedi matin. Des adaptations seraient ainsi encore possibles pour les qualifications et la course.

Gasly explique : « L’année dernière, le vendredi après-midi, nous avions des gars étonnants, brillants, géniaux, à qui il était interdit de modifier quoi que ce soit sur notre voiture. Et c’est précisément pour cela qu’ils sont payés, c’est pourquoi ils sont les meilleurs ».

Il était « un peu triste » que les ingénieurs n’aient quasiment pas le droit de toucher aux bolides lors d’un week-end de sprint après les qualifications, « parce qu’ils ont beaucoup plus à offrir qu’un ou deux clics sur le flap avant », a déclaré Gasly.

C’est ce qui a « définitivement » manqué en 2023, car le pilote Alpine précise : « La Formule 1 est le sommet de l’ingénierie et je trouve formidable que nous [les ingénieurs] ayons encore la possibilité de s’améliorer constamment pendant le week-end. « 

Ocon : Il y aura « beaucoup moins d’erreurs » avec le nouveau format

Je pense donc que c’était définitivement le bon changement pour le sport », explique Gasly, dont l’équipier est du même avis. Esteban Ocon explique que le week-end sera « beaucoup plus intéressant » avec un format revu.

De plus, il y aura « beaucoup moins d’erreurs », dit-il en référence aux disqualifications de Lewis Hamilton et Charles Leclerc l’an dernier à Austin, qui étaient peut-être en partie dues au format de l’époque.

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